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mercredi 18 octobre 2017

Le comédien haïtien, Jean-Claude Joseph alias Papa Pyè qui est né à Pétion-Ville et a grandi dans les quartiers : Bas-Peu-Chose et Carrefour est mort ce 18 octobre 2017, il était hospitalisé dans un Hôpital a orlando depuis Vendredi

L'acteur Jean-Claude Joseph devient populaire et célèbre dans les années 1980 grâce à son rôle dans la série comique « La Vie Nan Bouk La » il jouait Le personnage d’un père élevant son fils seul.

mardi 17 octobre 2017

BIOGRAPHIE DE JEAN-JACQUES DESSALINES

Jean-Jacques Dessalines (né le 20 septembre 1758 à Grande-Rivière-du-Nord – assassiné le 17 octobre 1806 à Pont-Rouge) est un dirigeant de la Révolution haïtienne et le premier Empereur d’Haïti (1804–1806) sous le nom de Jacques Ier. Son épouse fut Marie-Claire Heureuse Félicité, avec qui il se maria en 1801.
D’origine africaine, il est d’abord esclave à Saint-Domingue dans l’habitation de Henri Duclos. Jean-Jacques Dessalines, qui naquit le 20 septembre 1758, fut élevé sous le regard de sa tante, la future guerrière Victoria Montou, également esclave comme lui. Victoria Montou, femme énergique, s’en trouvera astreinte quotidiennement au rude labeurs des champs. Son meilleur ami était son propre neveu Jean-Jacques Dessalines, esclave comme elle. Plus âgée que lui, elle lui enseigna comment se battre dans un combat au corps-à-corps et la façon de lancer un couteau. Surnommé affectueusement Gran Toya, elle guida et conseilla Dessalines dans sa jeunesse. Il était fort attaché à cette tante, la seule membre vivante de sa famille.
Puis, durant les troubles qui mènent à l’indépendance de l’île, il devient lieutenant de Toussaint Louverture et combat à ses côtés lors de la Guerre des couteaux (1799-1800). En octobre 1802, il organise la mutinerie de l’armée saint-dominguoise contre l’expédition napoléonienne. Il combat le général mulâtre André Rigaud et le général français Charles Leclerc.
Après la déportation de Toussaint, il se soumet à la France. S’étant insurgé peu après, il se retire au nord de l’île ; il réussit, avec l’aide du commandant du fort de la Crête-à-Pierrot, Louis Daure Lamartinière et de la femme de celui-ci, Marie-Jeanne Lamartinière, à repousser Donatien-Marie-Joseph de Rochambeau dans le sanglant combat de la Crête-à-Pierrot, de Petite-Rivière de l’Artibonite. Par la suite, après la mort du colonel Louis Daure Lamartinière, sa veuve rejoindra Jean-Jacques Dessalines et deviendra, un temps, sa maîtresse.
Le 18 mai 1803, lors du congrès de l’Arcahaie, regroupant l’ensemble des chefs de la Révolution haïtienne, Jean-Jacques Dessalines arracha du drapeau tricolore français la partie centrale de couleur blanche. Une révolutionnaire, Catherine Flon, prit les deux morceaux restants, le bleu et le rouge et les cousit ensemble pour symboliser l’union des noirs et des mulâtres et créer le nouvel étendard de la République d’Haïti. Ce drapeau, inspiré du drapeau français dont la partie blanche, considérée comme le symbole de la race blanche et non pas de la royauté, a été déchirée. Presque tous les officiers se rallieront à ce nouveau drapeau, sauf ceux de Lamour Desrances qui lui préféreront le drapeau aux couleurs noir et rouge. Dessalines pourchassera les partisans du chef de guerre Lamour Desrances, qui refusait de reconnaître Dessalines comme général en chef, en envoyant à ses trousses le général Nicolas Geffrard qui finira par l’arrêter et anéantir son parti.
Il réussit le 18 novembre 1803 à vaincre les Français à la bataille de Vertières, et le 1er janvier 1804 Dessalines proclame l’indépendance d’Haïti. Il se fait d’abord gouverneur général à vie, puis empereur (pour ne pas être devancé par son rival, Bonaparte) sous le nom de Jacques Ier (1804).
Le 8 octobre 1804 il est couronné par l’archevêque Jean-Baptiste-Joseph Brelle.
Il fait massacrer les Français « qui espéraient le retour de l’ordre ancien en Haïti »[réf. nécessaire] et poursuit une politique de « caporalisme agraire » (comme le désigne Michel-Rolph Trouillot) destinée à maintenir les profits de l’industrie sucrière par la force, sans esclavage proprement dit.
Son gouvernement ayant décidé d’entreprendre une réforme agraire au profit des anciens esclaves sans terre, il est assassiné le 17 octobre 1806 à Pont-Rouge, au nord de Port-au-Prince, par ses collaborateurs, Alexandre Pétion, Jean-Pierre Boyer, André Rigaud et Bruno Blanchet qui servait d’intermédiaire entre tous sans oublier Henri Christophe qui se trouvait dans le nord.
Hommage
En 1910 est inauguré la statue de Jean-Jacques Dessalines sur le Champ-de-Mars de Port-au-Prince.
En 1926 est inauguré le mausolée à la gloire de Jean-Jacques Dessalines et d’Alexandre Pétion.
L’hymne national d’Haïti, La Dessalinienne, est nommé en son honneur, ainsi que le sont la ville et l’arrondissement de Dessalines.
Son effigie figure sur le billet de 250 gourdes, monnaie de la République d’Haïti.
De nombreux auteurs haïtiens ont rendu hommage à Dessalines, comme Ignace Nau qui rendit hommage, dans la première moitié du XIXesiècle, à ce personnage historique dans son poème Dessalines. En 1979, Félix Morisseau-Leroy dans son poème Mèsi Papa Desalin ou Jean Métellus dans L’Année Dessalines (Éditions Gallimard, Paris, 1986).
Le poème d’Ignace Nau titré Dessalines, rend hommage au fondateur de la patrie Jean-Jacques Dessalines et condamne le complot dans lequel ce dernier a trouvé la mort6 :
« Dessalines, à ce nom, ami, découvrons-nous !
Je me sens le cœur battre à fléchir les genoux
Et jaillir à ce nom un sang chaud dans mes veines.
Suspendez vos plaisirs, recueillez votre cœur,
Songez à nos héros, songez à l’Empereur !
Et Jean-Jacques, semblable à quelque esprit de Dieu,
Dicta l’indépendance à la lueur du feu !… »

dimanche 5 mars 2017

Différence entre une crise cardiaque, un AVC et un arrêt cardiaque

Voici la différence entre une crise cardiaque, un AVC et un arrêt cardiaque

   

Bien que les symptômes et les effets peuvent être similaires, accidents vasculaires cérébraux et les crises cardiaques sont deux problèmes médicaux différents. Les deux sont des événements vasculaires, ce qui signifie qu’ils comportent les vaisseaux sanguins, les artères, en particulier. Les deux maladies peuvent aussi conduire à l’invalidité et la mort.

Les gens pensent souvent qu’une crise cardiaque est la même chose qu’un arrêt cardiaque et on a  tendance à confondre, voire à ignorer totalement la différence entre une crise cardiaque, un arrêt cardiaque et un (AVC) ?

Quelle est une crise cardiaque ?

Le coeur est un muscle, et comme tous les muscles il exige un approvisionnement en sang riche en oxygène. Ceci est fourni au coeur par des artères coronaires. Une crise cardiaque se produit quand il y a une obstruction des artères coronaires. Ceci est souvent provoqué par un caillot sanguin. Une Telle obstruction, sinon rapidement résolu, peut faire commencer des pièces de muscle cardiaque à mourir. (1-3)

Quel est un arrêt cardiaque ?

Un arrêt cardiaque est différent à une crise cardiaque. Dans un arrêt cardiaque le coeur cesse réellement de battre ; considérant que dans une crise cardiaque le coeur continue normalement à battre quoique l’approvisionnement en sang au coeur soit perturbé. 

Comment se produit une crise cardiaque ?

Généralement, une crise cardiaque se produit lorsque l’approvisionnement en sang est bloqué par un resserrement des artères dû à un caillot de sang. Les dangers se produisent lorsque le flux sanguin n’est pas restauré, ou lorsque le manque d’oxygène impacte le muscle cardiaque.

Une crise cardiaque et un arrêt cardiaque sont deux problèmes de santé différents. En effet, l’arrêt cardiaque se produit lorsque le cœur rencontre des dysfonctionnements ou quand les fonctions cardiaques s’interrompent brusquement. Par conséquent, le cœur n’arrive plus à pomper le sang vers le cerveau, les poumons et autres organes.

Une crise cardiaque résulte d’un problème d’approvisionnement en sang au niveau du cœur. Elle se produit lorsque le flux sanguin vers le cœur est bloqué, le plus souvent par une accumulation de graisse, de cholestérol et d’autres substances qui forment une plaque dans les artères alimentant le cœur (les artères coronaires). Interrompu, le flux sanguin peut endommager ou détruire une partie du muscle cardiaque.

La crise cardiaque, également appelée « infarctus du myocarde », peut être mortelle si vous ne réagissez pas à temps. Elle est un état d’urgence, et il est impératif de consulter votre médecin dès l’apparition des symptômes.

Les symptômes de la crise cardiaque :

• Pression, oppression et essoufflement

• Douleur intense au niveau de la poitrine ou des bras et qui peut toucher le cou, la mâchoire et le dos

• Nausées, évanouissements ou étourdissements soudains

• Indigestion, brûlures d’estomac ou douleurs abdominales

• Sueurs froides et fatigue

Les facteurs de risque :

La mauvaise alimentation, le stress, l’hypertension, l’âge, la cigarette, la mauvaise hygiène de vie, le diabète, l’obésité et les antécédents familiaux.

Les Symptômes d’un arrêt cardiaque comprennent :

Perte Subite de conscience/de réactivité aucune respiration aucun pouls 

Le manque de pouls est provoqué par le coeur s’arrêtant réellement pendant un arrêt cardiaque. Par suite de ceci, les organes du fuselage sont privés du sang – ceci peut mener à la mort.

Les signaux d’alarme suivants peuvent également se produire pendant la période avant un arrêt cardiaque :

Douleur thoracique - Manque du souffle - Faiblesse - Vertige - Palpitations - Nausée 

Que faire en cas de crise cardiaque ? Appeler le SAMU (Service d'Aide Médicale Urgente)

Comment se produit un accident vasculaire cérébral (AVC) ?

Un accident vasculaire cérébral (AVC) se manifeste lorsque la circulation sanguine vers le cerveau est défaillante ou interrompue, ce qui conduit à la mort des cellules nerveuses.

L’AVC se manifeste lorsque le flux sanguin vers le cerveau s’interrompt et il suffit de quelques minutes pour que les cellules nerveuses commencent à mourir. Selon la Direction Générale de la Santé (DGS), l’AVC est la troisième cause de décès en France.

Il existe deux types d’AVC, l’accident vasculaire cérébral ischémique, qui est le plus courant et causé par un caillot de sang qui bloque un vaisseau sanguin dans le cerveau, et l’accident vasculaire cérébral hémorragique qui est provoqué par un vaisseau sanguin interrompu et saignant dans le cerveau.

Les symptômes de l’AVC :

• Engourdissement

• Faiblesse soudaine du visage, des bras ou des jambes, particulièrement au niveau d’un seul côté du corps

• Incapacité à comprendre et à parler

• Confusion et problème de vision soudains

• Difficulté à marcher

• Étourdissements, perte d’équilibre ou de coordination

• Maux de tête intenses et sans cause connue

Que faire en cas d’AVC ? Appeler le SAMU (Service d'Aide Médicale Urgente)

Comment se produit un arrêt cardiaque ?

L’arrêt cardiaque est la perte subite et inattendue de la fonction cardiaque qui entraîne un arrêt de la respiration et de la conscience. Un arrêt cardiaque se produit à cause d’un trouble électrique dans le cœur. La fonction régulière de pompage est alors perturbée, empêchant le sang de circuler dans le reste de l’organisme. Ce problème de santé est connu sous le nom d’arythmie (battements cardiaques irréguliers) et peut provoquer un arrêt global de l’action de pompage du cœur.

L’arrêt cardiaque diffère de la crise cardiaque qui survient lorsque le flux sanguin vers le cœur est encombré. Cependant, une crise cardiaque peut parfois causer une perturbation électrique qui conduit à un arrêt cardiaque soudain.

Il est important de savoir qu’un arrêt cardiaque soudain est une urgence médicale. Si ce problème de santé n’est pas traité immédiatement, il peut conduire à la mort subite, car le cœur devient incapable de pomper le sang et l’apport en oxygène aux différentes parties du corps, notamment au cerveau, est bloqué.

Symptômes de l’arrêt cardiaque :

• Étourdissements

• Perte de conscience

• Difficulté à respirer

Quelques chiffres…

En 2013, lors du congrès de la Société Européenne de Cardiologie (ESC) à Amsterdam, une étude française livre ses résultats, selon lesquels seulement 7% des personnes victimes d’un arrêt cardiaque en dehors d’un établissement hospitalier arrivent à survivre. Et aux États-Unis, près de 360 ​​000 arrêts cardiaques se produisent chaque année en dehors de l’hôpital.

Réduire les risques

Pour réduire votre risque de crise cardiaque et d’accident vasculaire cérébral, il est important de contrôler vos facteurs de risque. Cela signifie faire des choix de vie sains:

Arrêter de fumer si vous fumez.Ayez une alimentation saine.Faites beaucoup d’exercice.Contrôler l’hypertension artérielle, le diabète, et le taux de cholestérol avec des médicaments, si nécessaire.

Les facteurs :

L’âge, la cigarette, l’alcool ou les drogues, les antécédents familiaux, les antécédents d’arythmie et la maladie coronarienne, une vie sédentaire.

mercredi 1 mars 2017

Applis iPhone passées gratuites et promos du jour dont BD ebooks iTunes


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lundi 27 février 2017

Blag

Yon jou pandan Toto poze l lakay li konsa, yon bandi antre nan lakou a, bandi a rale yon MANCHÈT sou Toto, epi Toto kouri li lage kòl nan pisinn nan . . .
Lè bandi a wè sa li rantre nan pisinn lan epi l' rache Toto pak an pak....
 lapolis vinn parèt yo wè Toto poko mouri, yo mande Toto pouki nèg la rale MANCHÈT sou ou epi w' pa kouri al kache yon lòt kote se nan pisinn lan menm ou lage ko'w?

Toto reponn : "O o chèf la, se paskem konnen kout MANCHÈT nan dlo pa gen mak wi !"

Pwoveb lakay

1.1 - KLASMAN PA ÒD ALFABETIK

  1. Abiye kon li abiye, kan midi sonnen fòk bourik Sendomeng ranni.
    var: kon, kou. s: jan, fason
    |p| Bourik mèt fè santan nan lekiri, li pa gendwa tounen chwal.
  2. Afè nèg pa janm piti, se janm kanson yo ki etwat.
  3. Anbisyon tiye rat.
  4. Apre dans, tanbou lou.
  5. Avantaj kòk, se zepon.
    var: avantaj, avantay
    ent: Kote ou jwenn avantay (ou) se la ou pran l.
  6. Baton ki bat chen blanch lan, se li ki va bat chen nwa a.
    var: Baton ki bat chen blan an, se li k bat chen nwa a.
    sit: An Ayiti, paran timoun yo toujou bay tigason plis valè pase tifi. Deliram gen twa pitit: Dyenò, Dyemafi ak Dyelimèn. Dyenò ak Dyemafi desann sètifika ansanm; toulede pase. Deliram ap voye Dyenò Pòtoprens pou al kontinye klas li. Mèsidye, youn nan zwazen yo, di Deliram: "E Dyemafi, sa l pral fè apre sètifika?". "M ap voye manmzèl nan kouti.", Deliram reponn. Mèsidye di l: "Li lè pou n chanje mantalite sa a wi! Depi se tifi, nou wè se sèlman nan kouti pou n voye yo. Jan tifi sa a fò lekòl, poukisa ou pa voye l kontinye klas li Pòtoprens tou?".
  7. Bay piti pa chich.
  8. Bay kou bliye, pote mak sonje.
    var: sonje, chonje
  9. Bèf san ke, Bondye pouse mouch pou li.
    var: Bondye bay bèf san ke ladrès pou l pouse mouch.
    sit: "M pa konn sa manje koute, m pa konn sa dòmi koute lopital la. Men m manje, m dòmi. Se vre, pawòl la gen rezon: 'Bèf san ke, Bondye pouse mouch pou li'. Si pa t Papa Bondye, m pa konn sa m ta fè."
  10. Bèl cheve pa lajan.
  11. Bourik travay, chwal galonnen.
    var: garyonnen, galonnen
    ent: "Ki kalite peyi sa a, mezanmi! Moun k ap redi touye tèt yo anba travay, se pa yo k ap jwi. Se mouri abitan ap mouri nan travay, men se nèg lavil k ap banboche sou sa l ap fè. Se sa pawòl la di wi: 'Bourik travay, chwal garyonnen.' ".
  12. Chak jou kouyè bwa al kay ganmèl men yon jou ganmèl, al kay kouyè bwa tou.
    var: kiyè, kouyè [ r ]
  13. Chak bourik ranni nan patiraj li.
  14. Chak koukouy klere pou je pa yo.
    var: Chak koukouy klere pou je l.
    ent: a) Chak moun ede tèt li. b) "Mwen menm k ap di ou sa. Lè yo bezwen ou, y ap mache dèyè ou tankou chen. Rive yo fin rive, 'chak koukouy klere pou je l', y ap achte yon gwo bouldòg mete veye kay yo. Moun pa pwoche."
  15. Chat konnen, rat konnen, barik mayi a va rete la.
    var: Chat konnen, rat konnen, barik mantèg la ret la.
  16. Chemen lwen, gonbo di.
    gonbo, s: kalalou
  17. Chen gen kat pat, se yon sèl chemen li fè.
    var: a) Chen gen kat pat (men), li mache nan yon sèl chemen.
    ent: a) Yon moun gen dis dwèt, sa pa vle di l ka fè dis bagay alafwa. b) Dòdò monchè, si w ap fè sanblan w ap sèvi Bondye, ou pa ka nan bòkò anbachal. 'Chen kat pat, se yon sèl chemen li fè.' c) Chen kat pat mache nan yon sèl chemen.
  18. Chik pa janm respekte pye gwo mouche.
    var: Chik pa respekte mèt bitasyon.
    sit: Jeran lakou a pete yon lobo ak mèt kay la pou oto a li pa t gen tan lave. Se sa l bliye l pa di mèt kay la.
  19. Dan pouri gen fòs sou bannann mi.
    ent: Epòk Lame Ayiti, chèf se moun yo k te pi kapon men se sou pèp la yo te toujou ap tire paske men l vid.
  20. De moun onèt vann chwal yo san lavant.
  21. Dèyè mòn gen mòn.
    ent: Pwoblèm sou pwoblèm; apre yon pwoblèm se yon lòt.
  22. Fezè nat, li kouche atè.
    var: Fezè nat kouche (dòmi) atè.
  23. Flate pi danjere pase kouto de bò.
  24. Flèch palmis pa fizi.
    ent: Pa kite sa ou wè a twonpe ou.
    |p| Kaka poul pa ze.
  25. Fòk ou dòmi ak Jan pou konnen jan l wonfle.
    ent: Fòk ou viv ak yon moun pou konnen l (fen e byen).
  26. Gen mèsi chen, se kout baton.
    ent: "Mezanmi! Gade kouman Lorisa chita ap joure bòs Dival non! Bòs Dival ki mete l lekòl. Li menm ki manje Lorisa, li menm ki bwè l, li menm ki biye l! Epi koulyeya, se joure Lorisa ap plede joure l. 'Gen mèsi chen se kout baton'. Jouman ki rekonpans bòs Dival nan men Lorisa."
  27. Granmoun se remèd.
    ent: Granmoun bay bon konsèy.
    |p| Konsèy granmoun se longan.
  28. Grennpwonmennen di li tande anpil bagay, Bwapiwo di sa li wè, se pa pale.
    var: Bwapiwo di l wè lwen, Grennpwonmennen di l wè pi lwen pase l.
    sit: Pa gen nèg dyòlè pase Frewo. Misye toujou pran pòz li konnen tout sa k ap pase nan Pòtoprens. Te gen yon aksidan ki fèt sou wout Delma a. Misye te nan zòn lan. Men, li pa t wè aksidan an. Nan demen, li al wè yon zanmi Kafou epi Janwobè vin parèt. Frewo kòmanse pale de aksidan an kòmsi l te la sou plas lè l fèt la. Misye di: "A! Gen yon kokennchenn aksidan ki fèt yèswa sou wout Delma a, se bagay grav! Yon bis Dayatsou frape yon kamyon kola. Boutèy kola fè kenken, moun bwè kola nèt ale". Janwobè di l: "Ou fin pale?". "Ou t ap poze yon kesyon sou aksidan an?", Frewo reponn li. Janwobè di: "Non, m t ap pote kèk eklèsisman sou sa. Men kijan aksidan an te ye: yon kamyon kola sot anwo Petyonvil; lè l rive bò "Cine Imperial" li pèdi fwen. Li al antre sou yon bis Dayatsou. Sèz moun nan bis la mouri. Wout Delma bloke nèt. Mwen t ap travèse pon an lè aksidan an fèt la".
    |p| Tande ak wè se de.
  29. Jan chache, Jan twouve, Jan anbarase.
    |p| Pwonmennen chache pa janm dòmi san soupe.
  30. Je rouj pa boule kay.
  31. Je wè, bouch pe.
  32. Jouroumou pa janm donnen kalbas.
    var: jomou, jòmou, joumou, jouroumou
    sit: Albèto se gwo vòlè. Tigason l lan, Toto, soti l toupi.
    |p| Pitit tig se tig.
  33. Kabrit gade je mèt kay avan l antre.
    sit: Tout vakabon ranse ak Nènè. Kanta pou Sovè, se nèg ki kondi bak li byen; pesonn pa p pran chans jwe nan bab li.
    |p| Kochon mawon konn sou ki bwa pou l fwote (kò l).
  34. Kal pwason pa lajan.
    |p| Kaka poul pa ze. ( var: Kaka poul pa bè.)
  35. Kan poul bwè dlo, li pa bliye Bondye.
    ent: Chak gòje (gòjèt) dlo yon poul pran, li leve tèt li pou l di Bondye mèsi.
  36. Kan malfini voltije, si li pa jwenn plim li pran pay.
    var: Malfini vole, li pa jwenn poul, li pran pay.
    sit: "Lolo! Pran katèl ou ak bòs Dorilis! Ou mèt gen ventan, ti lanj ou ye. Lè ou te nan tete, papa ou te fè l yon bagay; li pa p janm bliye. Kole bòs Do kole anba vant ou a, ou pa janm konnen sa k dèyè tèt li. 'Malfini vole, li pa jwenn poul, li pran pay'. Sa Dorilis pa ka fè papa ou, li ka chache fè ou li."
  37. Kan ou ap tann soupe kanmarad, ou dòmi twò ta.
  38. Kan ou kontre zo nan granchemen, sonje se vyann ki te kouvri li.
    var: Lè ou jwenn yon zo nan granchemen, konnen li te gen vyann sou li.
  39. Kochon mawon konnen sou ki bwa pou l fwote.
  40. Kouri pou lapli, tonbe nan gran rivyè.
    ent: Ou ap evite traka epi ou pran nan touman.
  41. Lakay kanmarad pa lan mache.
  42. Larivyè anpeche pase dlo, li pa anpeche tounen.
  43. Larivyè avèti pa touye kokobe.
    var: Lagè avèti pa touye kokobe.
  44. Lavi long se plis lespri.
    ent: Tank ou viv pi lontan, se tank ou gen plis lespri.
  45. Lawouze fè banda toutan solèy pa leve.
    var: Lawouze taye banda toutotan solèy poko leve.
    |p| Bourik taye banda toutan chwal angle pa (lage) dèyè l.
    ( var: Bourik kouri toutan chwal pa dèyè l.)
  46. Lè vant chat plen, li di ke rat anmè.
    var: a) Vant chat plen, ke rat anmè. b) Depi (kou) vant chat plen, tèt rat anmè.
  47. Lè ravèt vle fè dans, li pa janm envite poul.
    var: Lè ravèt ap fè dans, li pa envite poul (ladan).
  48. Lò ou krache atè, li tonbe sou nen ou.
    ent: enpridans
    var: lè, lò [ r ]
  49. M vin tire bèf, m pa vin konte vo.
    var: M vin bwè lèt (se lèt m vin bwè), m pa vin konte ti bèf dèyè vach (vaybèf).
    s: vo, ti bèf
  50. Maladi gate vanyan.
  51. Malere se vis.
    ent: Povrete se krim.
  52. Malere pa dezonè.
    ent: a) Malere pa fè ou wont pou sa. b) Se pa paske ou malere pou wont (tèt ou pou) sa. c) Ou pa bezwen wont poutèt ou malere.
  53. Mò pa janm konnen pri dra.
    var: Mò pa konn pri dra ak sèkèy.
    ent: Mò kite dèt pou vivan.
  54. Nan tan grangou, patat pa gen po.
  55. Nan konpayi diri, ti wòch goute grès.
    var: Pami diri, ti wòch goute grès.
  56. Nèg di san fè, Bondye fè san di.
    ent: Nèg fè plan, Bondye pran desizyon.
  57. Ou konn kouri men ou pa konn kache.
    var: Si ou konn kouri, fò ou konn kache.
  58. Ou pa kapab kouche sou nat pou ap pale nat mal.
    |p| Ou sou do bèf la epi ou ap pale l mal!
  59. Pa kite bourik pou bat makout.
  60. Pa bliye granchemen pou chemen travès.
    |p| Si ou fache ak granchemen, kote ou ap pase?
  61. Pa koke makout pi wo pase men ou.
    var: kwoke, koke. s: pandye, pann
    ent: Pa pete pi wo pase dèyè w [ vil ]. (Fè sa ou kapab.)
    sit: Dyekiswa gen yon sèl vaybèf; li di l ap vann li pou l achte twa kawo tè.
  62. Pale franse pa di lespri pou sa.
    var: Pale franse pa di lespri.
    ent: Se pa paske yon moun konn pale franse pou pran l pou moun lespri.
  63. Piti piti zwazo fè nich.
    ent: Pran san w (nan sa w ap fè.).
  64. Pòt tè pa goumen ak pòt fè.
    ent: Se piti ou ye, w ap toujou anba.
  65. Prese kon ou prese, twò prese pa fè jou louvri.
    var: Twò prese pa fè jou louvri.
    |p| pran douvan pa vle di konn chimen.
  66. Pwason genyen konfyans nan dlo e se dlo ki kuit li.
    var: kuit, kwit
  67. Rat kay manje pay kay.
    var: a) Rat kay k ap manje pay kay. b) Rat kay manje panno kay.
    |p| Chik nan sann.
  68. Ravèt pa janm gen rezon devan poul.
    ent: Piti toujou anba.
  69. Rayi chen, men di dan l blanch.
    var: Rayi chen, di dan l blan.
    ent: Yon moun ka gen move ak bon kote l.
  70. Sa Bondye sere pou ou, lavalas pa pote l ale.
    var: a) Sa Bondye sere pou ou, lavalas pa ka pran (bwote) l. b) Sa Bondye sere pou ou, dyab pa ka pran l.
  71. Sa ki ba ou konsèy achte chwal gwo vant nan tan lapli pa ede ou nouri li nan tan sèk.
    var: Moun ki ba ou konsèy achte chwal plenn nan sezon lapli, pa ede w nouri l lè dizèt.
  72. Sak vid pa kanpe.
  73. Se pa kon chat mache li kenbe rat.
    var: Jan chat mache, se pa konsa l kenbe rat.
    ent: a) Pa gade sou aparans. (Aparans ka twonpe w.) b) Chen sa a, pa okipe l. Li pa p jape w; men, se yon chen k mòde antrèt!
  74. Se bon kè krab ki fè li san tèt.
    var: Bon kè krab fè l san tèt.
    ent: Yon moun ki twò onnèt (ki bay san limit) ka mouri pòv.
    |p| Se bon kè krapo ki fè l san tèt.
  75. Se soulye ki konnen si chosèt gen twou.
    var: Se soulye ki konn kot chosèt gen twou.
  76. Se pa poutèt yon pen pou pèdi tout yon founo.
  77. Se kouto sèl ki konnen sa ki nan kè yanm.
    var: a) Kouto sèl ki konn sa k nan kè yanm. b) Sa k nan kè yanm se kouto k konnen l.
  78. Se pa tout lè Magrit ale nan mache pou l pote bèl siwo.
  79. Se vye chodyè ki kuit bon manje.
    var: Vye chodyè kwit bon manje.
  80. Si ou pa t ap fiske lesyèl, ou pa ta wè tan kouvè.
    var: Si ou pa t ap fikse lesyèl, ou pa ta wè tan mare.
    var: fikse, fiske
  81. Sòt pa tiye, men sòt fè swe.
    var: (Moun) sòt pa tiye ou men l fè ou swe.
    var: tiye, touye
  82. Souke tèt pa kase kou.
    var: sekwe, souke
  83. Ti nèg fè sa l kapab. Gwo nèg fè sa l vle.
  84. Ti chen gen fòs devan kay mèt li.
  85. Ti kouto miyò pase zong.
  86. Tizon dife di li fou, men li pa pe janm pran chemen larivyè
  87. Tou sa ou pa konnen pi gran pase ou.
    var: (Tou) sa ou pa konnen (pi) gran pase w.
  88. Tout venn touche kè.
  89. Tout jwèt se jwèt, kochèt pa ladan.
  90. Tout bwa se bwa, men mapou pa kajou.
  91. Tout bèt di yo gra, lanbi di: mwen menm tou.
  92. Tout bèt nan lanmè manje moun, se reken ki pote move non.
  93. Twò gwo non tiye ti chen.
    var: Gwo non tiye (touye) ti chen.
  94. Twòp lespri, sòt pa lwen.
    ent: Twòp lespri konn rann moun sòt.
  95. Vant plen di: gouyav mi gen vè. Vant vid di: kite m wè.
  96. W a fòse bourik janbe dlo, ou pa pe fòse li bwè dlo.
    var: Yo fòse bourik janbe dlo, (men) yo pa fòse l bwè dlo.
  97. W ap kabicha pou manje manje moun chich.
  98. Yon jou pou dyab, yon jou pou Bondye.
    |p| Yon jou pou chasè, yon jou pou jibye.
  99. Yon sèl dwèt pa manje gonbo.
    var: Yon sèl dwèt pa manje kalalou.
  100. Zafè kabrit pa zafè mouton.
    var: Afè kabrit, mouton pa mele
    |p| Zafè lafanmi, lasosyete (moun deyò) pa mele.

1.2 - KLASMAN PA VÈB –

al(e) 12. Chak jou kouyè bwa al kay ganmèl men yon jou ganmèl, al kay kouyè bwa tou.
anpeche 42. Larivyè anpeche pase dlo, li pa anpeche tounen.
avèti 43. Larivyè avèti pa touye kokobe.
bat 59. Pa kite bourik pou bat makout.
ba, bay 71. Sa ki ba ou konsèy achte chwal gwo vant nan tan lapli pa ede ou nouri li nan tan sèk.
bliye 60. Pa bliye granchemen pou chemen travès.
boule 30. Je rouj pa boule kay.
bwè 35. Kan poul bwè dlo, li pa bliye Bondye.
chache 29. Jan chache, Jan twouve, Jan anbarase.
di 56. Nèg di san fè, Bondye fè san di. 95. Vant plen di: gouyav mi gen vè. Vant vid di: kite m wè.
dòmi 25. Fòk ou dòmi ak Jan pou konnen jan l wonfle.
donnen 32. Jouroumou pa janm donnen kalbas.
envite 47. Lè ravèt vle fè dans, li pa janm envite poul.
83. Ti nèg fè sa l kapab. Gwo nèg fè sa l vle. 74. Se bon kè krab ki fè li san tèt. 63. Piti piti zwazo fè nich. 45. Lawouze fè banda toutan solèy pa leve. 65. Prese kon ou prese, twò prese pa fè jou louvri.
fiske 80. Si ou pa t ap fiske lesyèl, ou pa ta wè tan kouvè.
fòse 96. W a fòse bourik janbe dlo, ou pa pe fòse li bwè dlo.
gade 33. Kabrit gade je mèt kay avan l antre.
galonnen 11. Bourik travay, chwal galonnen.
gate 50. Maladi gate vanyan.
gen(yen) 19. Dan pouri gen fòs sou bannann mi. 21. Dèyè mòn gen mòn. 26. Gen mèsi chen, se kout baton. 68. Ravèt pa janm gen rezon devan poul. 84. Ti chen gen fòs devan kay mèt li.
goumen 64. Pòt tè pa goumen ak pòt fè.
goute 55. Nan konpayi diri, ti wòch goute grès.
kabicha 97. W ap kabicha pou manje manje moun chich.
kanpe 72. Sak vid pa kanpe.
kase 82. Souke tèt pa kase kou.
klere 14. Chak koukouy klere pou je pa yo.
koke 61. Pa koke makout pi wo pase men ou.
konnen 15. Chat konnen, rat konnen, barik mayi a va rete la. 39. Kochon mawon konnen sou ki bwa pou l fwote. 53. Mò pa janm konnen pri dra. 75. Se soulye ki konnen si chosèt gen twou. 77. Se kouto sèl ki konnen sa ki nan kè yanm. 87. Tou sa ou pa konnen pi gran pase ou.
kontre 38. Kan ou kontre zo nan granchemen, sonje se vyann ki te kouvri li.
kouche 22. Fezè nat, li kouche atè. 58. Ou pa kapab kouche sou nat pou ap pale nat mal.
kouri 40. Kouri pou lapli, tonbe nan gran rivyè. 57. Ou konnen kouri men ou pa konn kache.
krache 48. Lò ou krache atè, li tonbe sou nen ou.
kuit 66. Pwason genyen konfyans nan dlo e se dlo ki kuit li. 79. Se vye chodyè ki kuit bon manje.
mache 73. Se pa kon chat mache li kenbe rat.
manje 99. Yon sèl dwèt pa manje gonbo. 67. Rat kay manje pay kay. 92. Tout bèt nan lanmè manje moun, se reken ki pote move non.
nouri 71. Sa ki ba ou konsèy achte chwal gwo vant nan tan lapli pa ede ou nouri li nan tan sèk.
pale 62. Pale franse pa di lespri pou sa.
pèdi 76. Se pa poutèt yon pen pou pèdi tout yon founo.
pote 78. Se pa tout lè Magrit ale nan mache pou l pote bèl siwo.
pouse 9. Bèf san ke, Bondye pouse mouch pou li.
pran 86. Tizon dife di li fou, men li pa pe janm pran chemen larivyè.
ranni 13. Chak bourik ranni nan patiraj li.
rayi 69. Rayi chen, men di dan l blanch.
respekte 18. Chik pa janm respekte pye gwo mouche.
sere 70. Sa Bondye sere pou ou, lavalas pa pote l ale.
sonnen 1. Abiye kon li abiye, kan midi sonnen fòk bourik Sendomeng ranni.
souke 82. Souke tèt pa kase kou.
tann 37. Kan ou ap tann soupe kanmarad, ou dòmi twò ta.
tiye 3. Anbisyon tiye rat. 81. Sòt pa tiye, men sòt fè swe. 93. Twò gwo non tiye ti chen.
touche 88. Tout venn touche kè.
travay 11. Bourik travay, chwal galonnen.
vann 20. De moun onèt vann chwal yo san lavant.
vin(i) 49. M vin tire bèf, m pa vin konte vo.
voltije 36. Kan malfini voltije, si li pa jwenn plim li pran pay.
31. Je wè, bouch pe.

1.3 - KLASMAN PA BÈT

bèf 49. M vin tire bèf, m pa vin konte vo. 9. Bèf san ke, Bondye pouse mouch pou li.
bourik 1. Abiye kon li abiye, kan midi sonnen fòk bourik Sendomeng ranni. 11. Bourik travay, chwal galonnen. 13. Chak bourik ranni nan patiraj li. 59. Pa kite bourik pou bat makout. 96. W a fòse bourik janbe dlo, ou pa pe fòse li bwè dlo.
chat 15. Chat konnen, rat konnen, barik mayi a va rete la. 46. Lè vant chat plen, li di ke rat anmè. 73. Se pa kon chat mache li kenbe rat.
chen 17. Chen gen kat pat, se yon sèl chemen li fè. 26. Gen mèsi chen, se kout baton. 6. Baton ki bat chen blanch lan, se li ki va bat chen nwa a. 69. Rayi chen, men di dan l blanch. 84. Ti chen gen fòs devan kay mèt li. 93. Twò gwo non tiye ti chen.
chik 18. Chik pa janm respekte pye gwo mouche.
chwal 11. Bourik travay, chwal galonnen. 20. De moun onèt vann chwal yo san lavant. 71. Sa ki ba ou konsèy achte chwal gwo vant nan tan lapli pa ede ou nouri li nan tan sèk.
kabrit 100. Zafè kabrit pa zafè mouton. 33. Kabrit gade je mèt kay avan l antre.
kochon 39. Kochon mawon konnen sou ki bwa pou l fwote.
kòk 5. Avantaj kòk, se zepon.
koukouy 14. Chak koukouy klere pou je pa yo.
krab 74. Se bon kè krab ki fè li san tèt.
lanbi 91. Tout bèt di yo gra, lanbi di: mwen menm tou.
malfini 36. Kan malfini voltije, si li pa jwenn plim li pran pay
mouch 9. Bèf san ke, Bondye pouse mouch pou li.
mouton 100. Zafè kabrit pa zafè mouton.
poul 47. Lè ravèt vle fè dans, li pa janm envite poul. 35. Kan poul bwè dlo, li pa bliye Bondye.
pwason 34. Kal pwason pa lajan. 66. Pwason genyen konfyans nan dlo, e se dlo ki kuit li.
rat 15. Chat konnen, rat konnen, barik mayi a va rete la. 46. Lè vant chat plen, li di ke rat anmè. 67. Rat kay manje pay kay.
ravèt 47. Lè ravèt vle fè dans, li pa janm envite poul. 68. Ravèt pa janm gen rezon devan poul.
reken 92. Tout bèt nan lanmè manje moun, se reken ki pote move non.
95. Vant plen di: gouyav mi gen vè. Vant vid di: kite m wè.
vo 49. M vin tire bèf, m pa vin konte vo.
zwazo 63. Piti piti zwazo fè nich.

Abreviyasyon ak siy:

ent: Entèpretasyon
s: Sinonim (mo tokay)
sit: Sitiyasyon (nan sitiyasyon pwovèb sa a ka itilize)
var: Varyant (o nivo ibyen / riral); varyasyon (pwovèb sa a genyen)
|p| : Pwovèb paralèl
[ ]: Tradiksyon
[ r ]: Varyant riral
[ vil ]: Vilgarize, vilgè, vilgarizasyon

Referans:

Mc CONNELL, H.
  • Ormonde ak Eugene Swain Jr. You can learn Creole. (4th. Ed). 1960
JEAN-BAPTISTE, Pauris.
  • Kout flach sou 250 pwovèb Dayiti. 1974
VEDRINE, Emmanuel W.
  • Dictionary Of Haitian Creole Verbs With Phrases And Idioms.Soup To Nuts. Cambridge, MA. 1992
  • Ti istwa kreyòl : Short stories in Haitian Creole. Soup To Nuts. Cambridge, MA. 1994
  • Gramè Kreyòl Védrine.E. W. Vedrine Creole Project. Boston. 1996
  • A guide To Haitian Creole Idioms. E. W. Védrine Creole Project. (Unpub. manuscript).
  • N ap aprann pwovèb ayisyen. E. W. Védrine Creole Project. Boston. (Maniskri inedi). 
Sous: Potomitan.info

Blague

Nouveau temps de Conjugaison

Cours de conjugaison: Le prof demande aux élèves de lui dire à quel temps sont les verbes dans cette phrase: "Ils ne voulurent pas d'enfants mais en eurent deux". Toto (le plus intelligent) Répond: "C'est le préservatif imparfait".



 
Le détecteur de mensonges

Un homme rentre de son travail avec un robot détecteur de mensonges. Son fils de 11 ans rentre avec 3 heures de retard de l'école.

- "Où étais-tu tout ce temps ?" demande le père.
- "J'étais chez un copain pour préparer un devoir !"
Le robot va vers le fils et lui donne une claque.

... Le père explique :
- Mon fils, ce robot est un détecteur de mensonges ! Tu ferais mieux de dire la vérité.
- Bon d'accord... "J'étais chez un ami et on a regardé un film : Les 101 dalmatiens."
Et paf ! Le robot donne de nouveau une claque au fils.
- "Aïe ! Bah en fait, c'était un film porno."

Le père :
- "J'ai honte de toi ! À ton âge, je ne mentais jamais à mes parents et je ne regardais pas de films porno !"
Et paf ! Le robot donne une baffe au père.

La mère se marre :
- "Décidément, c'est bien ton fils." Et paf ! Une baffe à la mère …




Le Psychiatre et les 3 fous
Un psychiatre pose des questions à 3 fous différents.

Il demande au premier: " Combien font 7 x 5 ?’’
Le fou lui répond : "1000" 
Psychiatre: "bien"
Le psychiatre note la réponse dans son carnet.

Il demande au deuxième fou: "Combien font 7 x 5 ?"
Fou: "jeudi"
Psychiatre: "bien"
Le psychiatre note la réponse dans son carnet.

Il demande au troisième fou: "Combien font 7 x 5 ?"
Fou: "35" 
Psychiatre: " Bien C'est génial ! Comment avez-vous trouvé?
Fou: "C'est simple, j'ai divisé 1000 par jeudi..."

dimanche 26 février 2017

Le Carnaval

En cette période festive, Il me parait une obligation de parler de cette grande fête qu'on organise dans beaucoup de pays depuis très longtemps à savoir le Carnaval.

  • C'est quoi le Carnaval?
Les carnavals (au pluriel) sont un type de fête relativement répandu en Europe et en Amérique. Ils consistent généralement en une période où les habitants de la ville sortent déguisés (voire masqués ou bien maquillés) et se retrouvent pour chanter, danser, faire de la musique dans les rues, jeter des confettis et serpentins, défiler, éventuellement autour d’une parade.
Héritiers de rituels antiques tels que les Lupercales et la Guillaneu, ils sont traditionnellement associés au calendrier chrétien et se déroulent entre l'Epiphanie, soit le 6 janvier, et le Mardi gras, une fête mobile entre le 3 février et le 9 mars et Étymologiquement  Le mot « carnaval » apparaît sous cette forme en français en 1549 pour exprimer le sens de « fête donnée pendant la période du carnaval ».
Il vient de l'italien carnevale ou carnevalo. Il a pour origine carnelevare, un mot latin formé de carne « viande » et levare « enlever ». Il signifie donc littéralement « entrée en carême ».
Des étymologies fantaisistes ont été jadis avancées, telle que « caro vale ! » qui veut dire « adieu la chair ! ».

  • C'est quand la période carnavalesque?
D'après le calendrier religieux, le carnaval débute à l'Épiphanie (le 6 janvier), date qui marque la fin des fêtes de Noël et s'arrête le mardi gras, veille du début de la période de carême. Les Laetare sont des carnavals de mi-carême.
Les Lupercales des Romains et les fêtes dionysiaques en Grèce sont des précédents historiques du carnaval.

Le carnaval est une tradition archaïque liée aux cycles saisonniers et agricoles. L’historien des religions Mircea Eliade écrit : « Toute nouvelle année est une reprise du temps à son commencement, c’est-à-dire une répétition de la cosmogonie. Les combats rituels entre deux groupes de figurants, la présence des morts, les saturnales et les orgies, sont autant d'éléments qui dénotent qu’à la fin de l’année et dans l’attente du Nouvel An se répètent les moments mythiques du passage du chaos à la cosmogonie ». Eliade écrit encore : « Alors les morts pourront revenir, car toutes les barrières entre morts et vivants sont brisées (le chaos primordial n'est-il pas réactualisé ?) et reviendront puisqu'à cet instant paradoxal le temps sera suspendu et qu'ils pourront donc être de nouveau contemporains des vivants ». Eliade souligne que les peuples ont « d’une manière profonde le besoin de se régénérer périodiquement en abolissant le temps écoulé et en réactualisant la cosmogonie ».

Dans l’essai Le Sacré et le Profane Mircea Eliade écrit : « L'abolition du temps profane écoulé s’effectuait au moyen des rites qui signifiaient une sorte de « fin du monde ». L'extinction des feux, le retour des âmes des morts, la confusion sociale du type des saturnales, la licence érotique, les orgies, etc. symbolisaient la régression du cosmos dans le chaos ».
Mircea Eliade parle des valeurs cosmologiques du carnaval même dans son Traité d'Histoire des religions (chapitre XI, Temps sacré).

En Suisse, le carnaval de Bâle débute le lundi suivant le mercredi des Cendres, à 4H00 du matin, tandis qu"à Lucerne, il commence le jeudi gras à 4H00 du matin. En Grèce, il s'appelle Apokriá et se termine le lundi pur.

  • Quel rapport existe-il entre les Chrétiens et le Carnaval?
 Traditionnellement, dans le christianisme, le carnaval marque la dernière occasion de célébration des aliments gras et autres avant le début du Carême. La période entre le début du Carême et Pâques (autrement dit la durée du Carême), selon le calendrier de l'Église, est de quarante jours. Traditionnellement, pendant le Carême, aucune fête ne doit avoir lieu, et les gens doivent s'abstenir de manger des aliments riches, tels que la viande, les produits laitiers, les graisses et le sucre. Les quarante jours du Carême, rappelant le récit biblique des quarante jours que Jésus passa dans le désert, servent à marquer une certaine période où le croyant chrétien se tourne vers Dieu et la discipline religieuse. Dans les jours précédant le Carême, il y aurait lieu de consommer tous les aliments et boissons riches en graisse, en sucre ou aux œufs. La tradition de cette consommation importante d'aliments avant le début du Carême serait censée être à l'origine du carnaval. La pratique du carnaval n'est pas admise dans la tradition vaudou originelle. Elle reste considérée comme une insulte aux peuples africains et aux esprits.


Notes et références: Wikipedia, Google images.

  Lakay